Nous avons parcouru la côte ouest du Portugal en novembre 2021 à bord de notre van. Dans cet article, je reviens sur les plus beaux paysages que nous avons découvert là-bas. Un article sera dédié à l’Algarve qui, pour moi, est la plus belle région du Portugal découverte lors de cette première partie de road-trip.
Parc national Peneda-Gerês
L’entrée dans ce parc coïncide avec notre entrée au Portugal. On s’en rend compte facilement car il faut passer entre les bâtiments de l’ancienne douane. C'est le seul parc national du Portugal. Il longe la frontière avec l'Espagne. Ce matin, nous étions encore sur la côte espagnole, dans les Asturies à admirer les vagues frapper les falaises depuis le van garé dans l’herbe haute. Les mouettes volaient au dessus de nous. Le paysage est encore une fois différent : tantôt le désert des Bardenas, puis l'océan et maintenant la forêt.
Cascada Do Homen
Ce parc figurait sur la bucket-list de voyage d’Arnaud. Bon, il faut avouer qu’il a mis beaucoup de parcs nationaux sur cette liste. Mais celui-ci est le premier à avoir une saveur différente. On gare le van à côté de la douane et on s’aventure à pied dans la forêt. Les couleurs d’automne magnifient le paysage. Les températures sont douces. La journée est déjà bien avancée alors on se promène jusqu’à un pont d’où l’on peut voir la cascade Do Homen en s’aventurant un peu en longeant le cour d’eau.
Arnaud dit toujours que le meilleur moyen de découvrir le parc est à pied. Ainsi, après une petite nuit bien fraîche avec 8 degrés au réveil dans le van et -1 dehors (spoiler alert : en revenant en France, on aura -9 dehors et +3 dans le van suite à une panne de gaz), on traverse le parc en passant par une route goudronnée à peine assez large pour que deux véhicules se croisent. Il nous faudra plus d’une heure pour arriver jusqu’au point de départ de la randonnée. Pas le temps de s’ennuyer sur le trajet, le paysage est un régal.
Le dernier kilomètre nous permettant de rejoindre le parking n’est pas goudronné et jonché de nids de poule. Mais la surprise à l’arrivée en valait la peine ! A la sortie du virage, on quitte la forêt et l’on découvre face à nous un petit cheval, puis une deuxième et enfin un poulain. Le camion à peine arrêté, je saute hors du véhicule pour rencontrer ces beautés. Je les observe un moment : leurs petites oreilles, grande comme ma paume de main, leurs grandes pattes toute fines avec le poil d'hiver bien épais. Ils ont l’air en liberté dans le parc, avec seulement une balise GPS autour de l'encolure. Le poulain vient vers moi en galopant. Il n'est pas peureux du tout mais plutôt curieux de voir si je n'ai pas une carotte pour lui. Constatant que je n'ai rien, il se désintéresse de moi et repart brouter plus loin.
Poco Azul
La randonnée du jour est encore une fois un aller-retour . Elle nous permet de monter jusqu’à Poco Azul, une piscine naturelle au pied d’une cascade. Le sentier grimpe jusqu’à ce qu'on puisse voir la forêt et les chevaux en contre-bas, la végétation est constituée à 80% de pins, les 20% restant sont soit de petits buissons, soit une plante fleurie qui a la particularité d’avoir des tiges pleines d’épines et vraiment bien aiguisées (nos mollets les ont bien sentis !).
Arrivés à mi-chemin de la randonnée, on entend au loin la cascade sans l’entendre. On rebrousse un peu chemin pour la trouver un peu plus bas en dehors du sentier, bien cachée de la vue des randonneurs. Le bassin n’est pas très grand mais assez pour qu’Arnaud s'y baigne. Les rayons du soleil de midi viennent sublimer la couleur de l’eau qui est d’un bleu-vert magique. Après trois heures de marche, on revient au point de départ et nos amis à poils sont toujours là.
Résumé de la randonnée
Distance : 9 kilomètres
Dénivelé : + 500m
Durée : 3 heures
Info utile : Cette randonnée est assez facile, la majorité du parcours est un sentier bien large. Il y a quelques passages caillouteux et la rivière à traverser mais ce n’est rien de compliqué après le Cabezo de las Cortinillas.
Où dormir au Portugal ?
Ce soir-là, on retrouve nos copains, les MacoMaco, que l’on avait quittés quelques jours auparavant. Je ne connait pas leur secret, mais ils trouvent toujours des spots magnifiques pour se poser avec le van. A tel point que, généralement, on finit par y passer trois jours. C’était encore le cas pour ce lieu perdu près de Frades. L’endroit se mérite. Il faut monter jusqu’en haut d’une montagne en passant par un sentier étroit et en mauvais état, ne pas faire attention à l’antenne à quelques mètres et surtout, ne pas avoir le mal de mer.
Parce-que s’il y avait bien un point négatif à ce lieu : c’est le vent ! A la nuit tombée, les rafales viennent faire trembler le van de droite à gauche comme un bateau en pleine tempête. A tel point qu’à 3 heures du matin, Arnaud s’est relevé et a été garer le van une centaine de mètres en contre-bas, à l’abri des secousses ! Imagines la surprise le lendemain matin de nos copains avec leur petit sms :
« Mais, vous êtes où ?! »
On oublie en un clin d'œil ces petits défauts quand on évolue au milieu des chevaux en liberté. Quand le coucher de soleil sublime les montagnes face à nous. Je ne peut pas imaginer plus paisible que ces fins d'après-midi où l'on regardait le soleil se coucher en faisant parfois un peu de yoga.
Porto
Porto, est la deuxième ville la plus visitée au Portugal, après la capitale Lisbonne. On a eu l’occasion d’y séjourner le temps d’un week-end où l’on a passé beaucoup de temps à manger ! Notre séjour a commencé par un arrêt à l’aéroport pour récupérer ma meilleure amie, Maryon. Au départ, elle devait venir avec Fanny mais … elle s'est faite recalée juste à l’entrée de l’avion car sa carte d’identité était périmée depuis 1 mois. (Le portugal ne rigole pas avec ça).
Malgré qu’on ne soit plus que 3 pour ce week-end, on part gaiement en direction de notre logement. On a choisi un Airbnb un excentré de la ville pour pouvoir y garer le van. En manœuvrant un peu, on a réussi à rentrer le van dans la cour, ça passait au poil de fesse ! Outre le critère important du stationnement, on voulait absolument qu’il y ait une machine à laver ! Le logement s’est donc transformée en buanderie pour réussir à laver 1 mois de vêtements et surtout de tout faire sécher à temps.
Le quartier Baixa
Quelques kilomètres en Uber plus tard, nous voilà rendus dans la Rua Santa Catarina ! Depuis là, on se balade dans le quartier Baixa de Porto. Dans ce coin, tu peux visiter a librairie Lello, qui a inspiré J.K Rowling lors de l’écriture de Harry Potter ! Bon, on y est pas allé parce-que, de un : le billet d’entrée était trop cher et de deux : parce-qu’il y avait une queue sans fin ! On a préféré aller déjeuner chez Noshi Coffee, où ils servent des plats végétariens absolument délicieux (même pour le porte-monnaie). On nous attribue une place au fond, dans le patio. Rien que la décoration des lieux nous conquis avant même d'être servis !
Sans trop s’en rendre compte, la journée passe et on se perd dans les rues de Porto alors que le soleil commence à se coucher. Avouons qu’entre Maryon, Arnaud et moi, ça bavarde beaucoup ! On décide de presser le pas, achetant au passage des gourmandises chez Duh. C'est une micro boutique de donut vegan à l’entrée de ce qui semble être un centre commercial. Au premier abord, ça surprend mais leur donut sont vraiment bons et la nana parle français ! D’ailleurs, en parlant de français, j’ai été marquée par le nombre impressionnant de touristes francophones à Porto ce week-end-là. Je n’avais pas entendu parler ma langue natale depuis que l’on était arrivés en Espagne !
Jardim Do Moro
Le meilleur endroit pour déguster ces donuts, c’est depuis le Jardim Do Moro. Ce lieu est prisé par les touristes et on comprend vite pourquoi ! On se fraie une passage dans le jardin au milieu de tout le monde. On s'assied dans l'herbe et on ne dit plus un mot. La vue sur la Rio Douro et le quartier Ribeira de Porto sont magnifiques. Le coucher de soleil vient sublimer les couleurs de la ville.
Vive la golden hour.
Le quartier Ribeira
Le lendemain, on se promène dans le quartier qui était face à nous la veille depuis le jardin : Ribeira. On flâne, on discute, on achète des pasteis de nata puis on attend le coucher de soleil sur Terrero da Sé autrement dit La terrasse de la cathédrale. Depuis ici, on a une vue sur la Douro de nouveau, mais aussi sur Vila de Gaia où nous étions la veille. Le quartier Ribeira et la Vila de Gaia sont séparés par le gigantesque pont Dom Luis. Il s’illumine à la nuit tombée. C'est notre dernière soirée dans la ville. Maryon reprend l'avion demain matin.
Budget pour 3 jours à Porto
Logement pour 2 nuits : 132 euros (210 euros au total)
Courses : 6 euros
Uber : 14 euros
Parking aéroport : 5 euros
Restaurant : 152 euros
TOTAL : 309 euros pour 3 jours
Nazaré
Après ces quelques jours passés à piétiner dans Porto et à manger pendant que notre linge séchait dans le Airbnb, on reprend gaiement la route en direction du sud du Portugal. Entre Porto et Lisbonne, on n’a pas vraiment d’impératifs. On décide de descendre la côte tranquillement, en faisant quelques petits arrêts notamment à Nazaré. Cette ville est mondialement connue pour ses vagues de presque 30 mètres de haut où les compétitions de surf ont lieu.
Nous sommes fin novembre et le World Surf Challenge a déjà commencé depuis deux semaines. Malheureusement pour nous, pas de grosses vagues prévues dans les jours à venir. Comme nous sommes arrivés dans les environs de Nazaré dans l’après-midi, nous avons décidé de nous arrêter sur un splendide spot en bord de mer et de rejoindre la fameuse « Praia do Norte » à pied le lendemain.
Pour aller jusqu'au phare de Nazaré, on décide de passer par l’immense plage. Au départ l’idée paraissait géniale : marcher pied nus, les doigts de pieds s’enfonçant dans le sable, les vagues venant rafraichir nos chevilles … Digne d'un rêve ! Enfin ça c'est sur le papier. La réalité est toute autre ! Le sable est constitué en majorité de miettes de coquillages qui nous piquent les pieds, peu importe où l'on marche, on s'enfonce. Mes pieds étaient rouges, égratignés, je faisait mine de ne pas souffrir tel un fakir. Au final, les 4 kilomètres de plage n'ont été qu'une souffrance !
Praia Do Norte
On fait un rapide tour dans la partie haute de Nazaré, avant de repartir en direction de notre campement avec une bière à la main. On tente d’esquiver la plage au retour en prenant un petit sentier qui traverse les dunes. Il est un peu biscornu, nous fait passer à côté d’une caravane abandonnée, à travers des plantes plus hautes que nous, puis se termine sur la plage environ 500 mètres avant notre spot. Mes baskets se remplissent de sable à vue d’oeil mais cette fois-ci je ne les quitteraient pour rien au monde !
Une fois arrivée sur place, force est de constater qu’il n’y a pas de grosse vague malgré le vent qui nous frappe le visage. La Praia do Norte est LA plage pour les compétitions de surf au Portugal. Sous l'eau, il existe un canyon sous-marin où se forme les vagues géantes. Pour en savoir plus sur les vagues de Nazaré, je te conseille ce site.
Aller à pied jusqu’à la plage était plutôt sympathique. On a pu découvrir l’immensité des plages sur la côte, croisés quelques pêcheurs (je me demande d’ailleurs comment ils pêchent à contre-courant…). Par contre, j’ai été choquée par les nombreux déchets plastiques qui trônaient sur le sable ! Des cagettes, des filets, des bouteilles, un pinceau, … Je ne comprend pas comment ces déchets finissent ici. Enfin, il faut dire que 50 mètres à côté de notre van, on a surpris des locaux jeter leurs gravats par dessus le bord de la dune. Pour te dire, on a même trouvé un WC ! (Plus tard, on apprendra que les déchetteries n'existent pas au Portugal. Ceci explique cela...)
Peniche
Initialement, on devait visiter la ville de Peniche réputée pour ses ports et ses dentelles aux fuseaux. Finalement, on n'a pas mis un pied dans la ville et l'on a passé l'après-midi à vagabonder sur la côte. On rejoint la pointe pour tenter d'identifier les oiseaux en vain.
Azhenas do Mar
Ce petit village aux murs blanchis était sur notre route pour aller jusqu’à Lisbonne. Je te déconseillerai d’y aller en van durant l’été, sauf si tu aimes les galères. Circuler dans les rues en pente et microscopique de ce village est une mission suicide ! Nous n’y sommes pas restés longtemps, juste le temps d’une photo. A cette saison, on profite de pouvoir se garer facilement sur le parking en bord de route quelques kilomètres avent l’entrée dans la ville. D’ailleurs, c'est d’ici que l’on a le meilleur point de vue, peut-être le seul ?
Lisbonne
Lisbonne, capitale du Portugal. On avait déjà eu la chance de parcourir ses rues il y a deux ans. A cette époque, Arnaud et moi n’étions que des amis. On se connaissait peu et on se découvrait au fur et à mesure de nombreux points communs. Je me rappelle même l’avoir inscrit sur Instagram pour que l’on trouve ensemble les restaurants végétariens les plus cool de la ville. En trois jours, je suis passée de l’état de « copine de » à « vraie amie » d’Arnaud. Retourner à Lisbonne avait alors une saveur particulière pour nous. Lors de notre première venue, nous avions visité tous les quartiers incountournables et belvédères au pas de courses allant jusqu’à Bélem et au LX factory. Rien ne nous a échappé.
Cette fois-ci, on a décidé d’aller bien plus tranquillement. Quelques jours auparavant, on fêtait nos deux ans d’amour. L’idée en revenant à Lisbonne était aussi de découvrir la ville autrement. Une des choses qui m’avait marquée, c’était tous ces tags au mur. En particulier celui-ci de Tami Hopf. L’idée était toute trouvée pour ce week-end citadin : partir à la recherche des plus beaux tags de Lisbonne.
Le quartier Alfama
Selon moi, l’Affama est le plus beau quartier de Lisbonne. Il garde un aspect authentique. Ses ruelles pavées étroites et pentues. Le linge étendu sur les balcons au dessus de nos têtes, nous faisant de l’ombre. Tous les guides touristiques avoueront que le meilleur moyen de découvrir l’Affama est de se perdre dans les rues. Tantôt on monte, on arrive sur un belvédère. On boit un verre en terrasse puis on repart. Notre instinct nous dicte de tournre à droite, on descend quelques marches et soudain, on tombe nez à nez avec cette oeuvre tant aimée de Tami Hopf. Je reste quelques minutes à méditer devant le dessin. Pourquoi cette femme a-t-elle des oiseaux qui sortent de ces yeux ? A quoi correspond cet oiseau noir dans sa main ?
Deux ans plus tard, je n'ai toujours pas la réponse exacte mais j'ai fait ma propre interprétation. Le message n’est pas clair, chacun le comprend à sa manière, j’imagine.
Ailleurs sur les murs, on peut trouver des oeuvres aussi petites qu’une feuille A4. Pour certaines, le message est clair.
Un brin de nostalgie nous a poussé à retourner déjeuner chez Augusto. En quelques années, ce café est devenu ultra prisé des touristes. On attendra une heure sur le trottoir, le temps que les premiers heureux aient finis leur plats. Lors de notre premier périple, nous y sommes déjà allés deux fois. Le dicton dit vrai : « jamais deux sans trois ». Maintenant que j’y pense, cela veut dire que l’on retournera une troisième fois à Lisbonne ?!
LX Factory
Nous passons l’après-midi lisboète au LX factory. Il faut marcher près de 40 minutes à pied, en longeant une partie du boulevard fréquenté. Sur le chemin, difficile de discuter tant les voitures nous polluent les oreilles et les trottoirs sont étroits. Pourquoi alors avons-nous fait le trajet à pied ? Pour pouvoir admirer le « Plastic Fox ». Bordalo II, un artiste originaire du Portugal, réalise de magnifiques créations à partir de déchets. Ces oeuvres sont exposées dans différents endroits de Lisbonne mais aussi ailleurs dans le monde. Son objectif ? Dénoncer la pollution. Par exemple, le renard est réalisé à partir de déchets plastiques : cadre de télévision, chaises, pelles, …
Le LX factory s’est « construit » sur une usine de tissus désaffectée. C’est le village du street art où se mêlent bars, restos uniques, concept stores, et créateurs. Partout où le regard se pose, il y a quelque chose à photographier. Impossible de rater l’abeille géante de Bordalo II. ! En ouvrant un peu plus les yeux, on trouve cette peinture d’une femme, ou ce sticker mélangeant féminisme et véganisme fièrement collé sur un poteau.
Time Out Market
Au retour, nous longeons l’eau jusqu’à arriver au Time Out Market. Autre lieu cultissime de Lisbonne. Il est à l’exact opposée de l’ambiance du quartier de l’Affama. C’est une immense halle où l’on trouve de nombreux stands de différents restaurateurs. Il y en a pour tous les goûts : cuisine locale, mexicaine, italienne, burger, viandard, … Le problème ici c'est de trouver un place où s’asseoir. Une fois attablé, il faut aussi pouvoir s'entendre parler. Le bâtiment génère un écho considérable. Ce sont tous ces ingrédients qui forment le Time Out Market. Il y a deux ans, nous y avions diné. Ce soir-là, je craque chez Crush Doughtnuts. 5,95 euros le gros donut bien chargé. C’est cher, mais qu’est-ce que c’est bon ! Entre la nourriture et moi, c’est une histoire d’amour. Sur mon portable, un tiers des photos de voyages sont des clichés de mes plats commandés un peu partout en Europe.
Je suis assez contente d’être retournée à Lisbonne et de l’avoir découvert autrement. Avec un oeil plus artistique. La capitale regorge de street art. Depuis 2008, la municipalité a attribué des espaces publics pour les artistes locaux et étrangers. En partant à vélo dans les quartiers excentrés, on peut aussi dénicher d’autres tags, graffitis ou oeuvre de Bordalo II. Peut-être que l’on fera cela lors de notre troisième passage à Lisbonne ?
Pour conclure sur Lisbonne, je trouve que c’est une idée originale de visiter la capitale autrement. Prendre le temps de farfouiller sur Ecosia, sur les nombreux blogs qui révèlent des tas d’oeuvres dans différents quartiers de la ville.
Budget pour 3 jours à Lisbonne
Logement pour 2 nuits : 97 euros
Parking aéroport : 30 euros
Métro : 6 euros
Restaurant/bar : 105 euros
TOTAL : 238 euros pour 3 jours
Le Portugal en van : bilan
Don’t worry, notre voyage au Portugal ne s’est pas arrêté à Lisbonne. On a ensuite continué le voyage jusqu’en Algarve. Cette région était tellement une pépite que je ne me voyais pas lui consacrer une petite partie en fin d’article. Restes connectés sur Instagram, un article dédié sur la Vanlife en Algarve arrivera bientôt !
Et le van ? Bien qu'il y ait une loi interdisant le camping sauvage dans la majorité du Portugal. Nous n'avons eu aucun soucis pour trouver des spots agréables ou se remplir en eau. Tout s'est vraiment bien passé et P4N a été notre fidèle ami ! Pouvoir découvrir ce pays en roulant avec notre petite maison derrière nous est un vrai bonheur ! Bien sûr, il faut tenir compte du fait que nous sommes venus à la basse saison. Peut-être qu'à la haute saison les spots seront complets ou les gens moins laxistes ?